Imperturbable silence de la nuit
Tes yeux illuminent le chemin
De la source de l'ennui tarissable
Entre ciel et terre loge l'infini
Un espace -horizon à mesure ineffable
Un berger s'inquiète du sec avare
Implore la divinité de l'eau bénie
Sans laquelle le sol se prive de son destin
L'âme exilée se croirait perdue
Dans l'abîme terrifique de la mare
Une main invisible s'invite au festin