O, feu,fasse que cendres apaisent tes flammes
Que chagrins matent regrets
De l'automne au printemps
Que d'ames chavirées
Des côtes blanchâtres
Vagues en transe
Sur les quais déserts
Au carrefour de l'oubli
Des mouettes flottant ailes
Vers destination inconnue
Où flammes ne sont plus flammes
A l'horizon,des coeurs apaisés..