Sous la tente nomade
Me sentant à l'abri
Du ciel se déverse un crachin
Des perles s'incrustent sur rade
A l'horizon frontière de l'inoui
Un tintement se fit musique
Des diurnes de Mozart s'amplifient
Sans couverture et tout mouillé
Enivré par la douce rythmique
Au lever sur l'esplanade déserte
Le verre d'apéro était à demi-plein
L'autre moitié emplie d'oubli